Hier soir, le Premier ministre haïtien dans un tweet a chaleureusement apprécié la participation des jeunes d’Haïti aux Brillants de la Francophonie. Des artistes de différentes tendances y ont participé.
Dans les décombres du colonialisme, on a trouvé ce merveilleux outil, “la langue française”, aimait à répéter le poète Léopold Sédar Senghor, ancien président du Sénégal. Une formule qui reflète la philosophie des pères fondateurs de la Francophonie institutionnelle – Senghor et ses homologues tunisien, Habib Bourguiba et nigérien, Hamani Diori, ainsi que le prince Norodom Sihanouk du Cambodge – et qui consiste à mettre le français au service de la solidarité, du développement et du rapprochement des peuples par le dialogue des civilisations.
L’actuel locataire de la primature exprime sa satisfaction de voir des Haïtiens participer à un tel événement. “Je félicite chaleureusement les talents de mon pays : écrivains, auteurs, dramaturges, conteurs, poètes, musiciens, paroliers, éducateurs, enseignants ? Vous êtes les créateurs continus et permanents d’un humanisme linguistique et culturel partagé à travers le monde”, peut-on lire sur son compte Twitter.
Haïti
Ariel le répète, serait une étoile lumineuse morte si la brillante francophonie n’existait pas. “Sans vous, la brillante francophonie haïtienne serait une étoile morte depuis longtemps. Mon pays reste pleinement engagé à continuer à contribuer au rayonnement culturel et au dynamisme politique de l’espace francophone”, a-t-il poursuivi.
Haïti est mortellement blessée par des politiciens inconscients, insouciants et incompétents parce qu’ils ne savent pas d’où vient cette nation et où ils doivent la conduire. L’insécurité et la corruption deviennent normales et personne n’est capable de dire stop. Que le Dieu de nos pères réveille la conscience patriotique.