Lors des élections présidentielles au Brésil, environ 156 millions d’électeurs ont déjà voté dimanche 02 octobre 2022. La majorité de la population, votée contre Jair Bolsonaro, actuellement président de droite pour s’ériger vers Lula, l’ancien président de Gauche.
La journée des élections brésiliennes s’est tenue ce dimanche 2 octobre, les électeurs se sont rendus aux urnes en mode de tension pour choisir leur dirigeant. L’actuel candidat à la présidence, Luiz Inacio Lula da Silva à sa sortie des urnes, a déclaré qu’il voulait voir son pays, “revenir à la normalité”. L’ex-président Lula qui veut à tout prix un troisième mandat, poursuit et dit : “Nous ne voulons pas de haine, de discorde. Nous voulons un pays en paix”. Bolsonaro, l’actuel président n’est pas resté pas muet, il s’est ainsi exprimé : “si les élections sont propres, elles devront être respectées”. Le président Jair critique fortement le système d’urine électrique fonctionnel dans le pays.
Il faut dire que l’ancien président Lula est un partisan des pays de l’extrême gauche, notamment la Russie, un allié sûr, prête à apporter son soutien. Par contre, l’occident ne marche pas dans la logique du président Russe, Vladimir Poutine. Imaginez l’avenir !
Au déroulement des élections, on a fait des constats :
– Dans un premier temps, les bureaux de vote sont ouverts depuis 7 h à 17 h au Brésil. La sortie des urnes devrait arriver aux environs de 22 à 23 heures pour les premières estimations et pour attendre les résultats définitifs dans la soirée soit au milieu de la nuit.
– Dans un second temps, un deuxième tour est possible pour les raisons suivantes :
- a) Lula a 76 ans et Bolsonaro 67 ans.
- b) Neuf candidats relégués au rang des figurants (à cause de Lula, paraît-il ?).
- c) Un choc pour l’avenir de la démocratie au Brésil.
- d) De 2003 à 2010, Lula était toujours favori dans les derniers sondages de datafolha samedi soir, avec pourcentage de 50 % et 36 % pour Bolsonaro.
Voilà, les raisons pour lesquelles on pourrait avoir un second tour des élections présidentielles au Brésil, selon l’analyste Adriano Laureno.
– Dans un troisième temps, au cours du moment des campagnes électorales, un face-à-face présidentiel montrant beaucoup de haine se dégageant entre les favoris. Il y avait des propos comme “menteur”, “corrompu”. Les candidats font leurs campagnes en portant des gilets pare-balles, c’était une véritable guerre.
Suivant ces observations, les candidats ont délaissé les intérêts populaires pour régler d’autres choses. Donc, il ne faut qu’attendre.
Daniel Loréus