3647 personnes ont quitté leurs domiciles respectifs dans la zone métropolitaine, selon l’OIM

La population haïtienne subit une violence incessante par des actes de banditisme, surtout dans le développement de l’ouest. Un déplacement forcé s’impose aux populations de Delmas 24, Solano, bel-air… pour ne citer que ces zones, pour se rendre soit dans un autre lieu indéterminé.

Selon un bilan partiel de l’Organisation Internationale pour les Migrations, de nombreuses maisons ont été laissées vides parce que les gangs imposent leur loi. “Les attaques des bandits contre les populations de Delmas 24, Delmas 2, Solino et Bel-air ont déplacé 3647 personnes, selon un rapport préliminaire de l’OIM, qui précise que cette liste n’est pas exhaustive”, lit-on sur le compte Twitter de la Radio Télé Métronome.

Jusqu’à présent, l’Etat n’est pas en mesure d’assurer la sécurité des personnes.